Les personnes à mobilité réduites ou PMR ne sont pas nécessairement des personnes présentant un handicap auxquels on pense. La difficulté à se déplacer peut être temporaire. Les enfants et personnes âgées sont classés parmi les PMR, de même que des personnes très chargées qui ont du mal à se déplacer. En fait, les PMR englobent toutes les personnes qui ont du mal à aller d’un point A à un point B. De par cette définition, il apparaît que tout le monde est susceptible d’être PMR à un certain moment de sa vie.
Les droits des personnes à mobilité réduite
D’une manière générale, les autorités dirigeantes ont l’obligation de faciliter l’accès des chemins et des routes pour chaque personne. Les infrastructures doivent être aménagées de manière à ne jamais gêner les déplacements des usagers. Pour les personnes en situation de handicap, la loi est plus spécifique. Elle exige que ces personnes bénéficient d’aménagements spéciaux. Tout ce qui est public doit être mis aux normes. Cela vaut pour les transports en commun et les établissements d’accueil et les logements. Les nouveaux bâtiments doivent respecter la règlementation de la construction immobilière au moment même de leur conception.
La revendication de l’égalité
La loi et les conventions internationales ont beau prôner l’égalité de tous, la réalité en est tout autre. Jusqu’à aujourd’hui les personnes en situation de handicap sont considérées comme des gens « faibles ». Malgré l’apparition de nombreuses associations venant en aide aux personnes à mobilité réduite, la situation actuelle fait que les PMR soient considéré comme des personnes vraiment à part. Egalité de traitement pour tous dit-on ? La réalité réalise qu’il est plus difficile pour un handicapé de se trouver un moyen de subsistance. Mais aujourd’hui, les PMR réclament le droit d’être « normaux », pour les aider, la technologie est devenue leur meilleur ami. Avec l’apparition des fauteuils roulants 2.0, il leur est devenu plus facile de se déplacer et de pouvoir effectuer des tâches de la vie quotidienne.